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  • clotildelefevres

Jour 7 : L'épilogue du blog.

21 novembre 2021, un dimanche matin pas comme les autres : d’une part, parce qu’on est toujours à Oslo ; d’autre part, parce que la cloche a sonné bien avant l’heure ; enfin, parce que Louise, Auguste, Niki, Gustav, Pierre-Auguste, Salvador, Fernando et Paul nous attendaient au parc Ekeberg.



Bien avant d’honorer notre rendez-vous avec ces illustres artistes, quelques points d’organisation restaient à régler : le Tetris des valises, la remise des clés et la vérification des papiers.



Bien chaussés, bien couverts et plus ou moins bien réveillés, nous avons utilisé for the last one, la carte Oslo Pass dans le beau tramway bleu qui nous annonce de faire attention à la fermeture des portes..


Le parc Ekerberg est situé à l'est de la ville, au pied de la colline du même nom, qui a accueilli les premiers peuples dans la région il y a plus de 10 000 ans. Inauguré en 2013, ouvert toute l'année 24h/24, il comprend 44 sculptures d'artistes de renom international. Il a comme fil conducteur la femme dans toute sa splendeur. Ces œuvres d'art, représentatives de l'histoire de l'art européen, jalonnent un parcours à la fois sportif, bucolique, panoramique et anecdotique. En effet, Edvard Munch y trouva son inspiration un soir d'été pour son fameux tableau "Le cri". Nous, c'est Céline qu'on a trouvée, au détour d’une statue, accompagnée de ses enfants Apolline et Auguste, et qui a joué pour nous la photographe afin d' immortaliser le magnifique point de vue sur la ville d’Oslo.


Il faut dire que Céline, une nordiste comme Sandrine, avait déjà entendu parler de notre voyage grâce au groupe Facebook des Français à Oslo, riche en informations, et auquel nous sommes abonnées depuis quelques temps.



Après 2h de promenade intense, il est temps de retourner à l’hôtel pour un brunch rapide avant de prendre l’autoroute direction Gardermoen, l’aéroport de la ville d’Oslo.

Opération « Global blue » : un service qui permet de récupérer la TVA locale pour les non-Norvégiens sur les achats non alimentaires et pour un montant minimum de 315 Nok. Autant parler anglais s’est révélé être une tâche ardue, autant comprendre le système de taxation norvégien en a été une autre pour le groupe. Néanmoins, quand il est question d’argent, on fait vite des efforts d’adaptation !


La technologie n’a pas été notre alliée pour l’embarquement, puisque les bornes ont indiqué une erreur à la vue de nos patronymes. Notre professionnel de l’informatique, Stéphane Le Sivillon, n’a pas pu venir à notre secours cette fois-ci, et nous sommes donc allés voir Sonja au comptoir Air France, le contact humain est quand même bien plus agréable.


On a bien tenté un dernier échappatoire pour prolonger notre séjour en envoyant les jeunes en éclaireurs à la porte D10. L’excuse de l’achat de dernière minute n’a pas fonctionné, notre messagerie a été saturée d’appels, pas d’autre choix que d’entamer un petit footing dans les couloirs de l’aéroport pour prendre place dans l’Airbus A318 à quelques minutes de la fermeture des portes. On a ressorti nos masques et après deux heures de vol, nous avons retrouvé nos bagages sur le sol français.



Notre chauffeur Jean-Pierre nous a conduits, dans un bus endormi, à notre point de départ : le CFA Orléans Métropole où nous avons été accueillis par Monsieur Farineau.

Go home, gros dodo car demain boulot !


Bilan de notre séjour : 121 404 pas, 78 lunch bags, 7 musées, 26 Oslo Pass, 5 menus en français dont un repas de Noël, 579 messages WhatsApp, 6574 fois : « On fait quoi demain ? » ou « Quand est-ce qu’on mange ? », 146 bières (c’est une blague, ici on ne rigole pas avec la consommation et la vente d'alcool. C'est assez simple puisque c'est interdit au moins de 21 ans le week-end ; enfin tout ce qui s’est passé à Oslo reste à Oslo !), 154 « Bonjour Madame », des centaines de Tesla et voitures électriques en tout genre qui laissent une atmosphère feutrée dans la ville… et surtout des centaines d’images inoubliables à trier.


Oslo 2021, c’est fini comme dirait Jean-Louis ! Mais la route ne s’arrête pas là. Le TEA reste une belle aventure à poursuivre. Prochaines destinations avant de jouer les exploratrices de l’espace ? On verra bien où le vent nous mènera… mais nous, on est prêtes.



Les reporters du dernier jour : Sardine et Clothil






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